| | Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: mélancolie cruelle Sam 17 Déc - 17:08 | |
| charlotte grey
mélancolie cruelle ©michaelsnikita.tumblr.
surnom(s) - son époux l'appelait amour, son meilleur ami ne jure que par Lottie mais avant toute chose, elle demeure maman pour son fils. signe astrologique - elle est poisson, faite d'amour et d'inspiration. caractéristiques physiques - brune aux yeux bleus, elle a un grain de beauté sur le front. traits de caractère - maniaque, créative, passionnée, passionnée, fonceuse, brave, aimante, affectueuse, protectrice (maman ours au rapport), féminine, futée, responsable, têtue, rêveuse, perfectionniste, parfois un brin obsessionnelle. premier amour - son défunt époux, en qui elle avait vite vu son prince. odeur préférée - l'odeur de bébé, ça lui manque. pâtisserie préférée - une bonne religieuse parfumée au café. plat préféré - tagliatelles au saumon. votre livre de chevet - Alice au pays des merveilles de Lewis Caroll. votre conte favori - les aventures de la rêveuse petite Alice ont là encore à sa préférence. Elle a lu cette histoire à son fils durant l'enfance de ce dernier bien plus de fois qu'elle ne saurait les compter. votre ange gardien - elle aime encore à penser que, là où il se trouve, son mari veille toujours sur elle. vos animaux de compagnie - un golden retriever couleur crème qui ne jure que par elle (logique, elle est celle qui le nourrit et qui le promène). vos peurs - savoir son fils malheureux. vos rêves - devenir grand-mère et que ça arrête de faire aussi mal.
we keep this love in photograph La description d'une pièce de votre chez vous ♡ Charlotte est éperdument amoureuse de sa cuisine, c’était par ailleurs la pièce à l’égard de laquelle elle se montrait le plus exigeante lorsque, sa main dans celle de son mari et son fils dans son landau, elle multipliait les visites de maison dans l’espoir d’enfin trouver la sienne. Compte tenu de son métier, c’est plutôt logique : elle adore cuisiner et a donc besoin d’une pièce suffisamment grande et bien agencée qui lui permette de s’adonner librement à cet art. Sa cuisine est une vaste pièce confortablement équipée, avec un grand frigo américain toujours plein à craquer et au contenu soigneusement rangé (au point où elle passait derrière son fils et son mari s’ils avaient le malheur de ranger les courses sans qu’elle ne soit derrière pour superviser la tâche), un grand ilot central et des tabourets disposés tout autour. Au delà d’un lieu dédié à sa passion, elle a toujours vu en une cuisine un lieu de ralliement, à l’instar par exemple d’un salon. Le contenu d'une boite en carton dans votre grenier ♡ écrire ici. Votre wish-list pour Noel ♡ écrire ici. Un souhait pour le futur ♡ écrire ici.
so you can keep me Inside the pocket of your ripped Jeans L’heure était bien avancée quand, enfin, elle constata en passant sa tête dans l’embrasure de la porte de la chambre de son fils que ce dernier c’était enfin endormi. La journée avait été atrocement longue et Charlotte Grey avait l’impression de tenir difficilement sur ses deux jambes. A vrai dire, c’était une impression qui ne l’avait pas lâchée depuis son réveil une bonne vingtaine d’heures plus tôt. Encore vêtue d’une petite robe noire sobre qu’elle avait enfilé pour l’enterrement, elle descendit, dévalant lentement les marches de l’escalier. Elle était fatiguée, mais fuyait obstinément sa chambre, persuadée qu’elle ne trouverait pas le sommeil quoi qu’il advienne. A la place, elle rejoignit la cuisine, dans l’intention de se faire (pour la énième fois de la journée) une tasse de café bien noir. Ce fut ce qu’elle fit et c’est alors que, perchée sur un tabouret au bord de l’ilot central, elle descendait une petite gorgée de café que l’idée du comment elle allait passer le reste de sa nuit lui vint. Sans même finir sa tasse, comme de peur que son idée ne s’envole d’un instant à l’autre, elle descendit de son tabouret et fila en direction de sa chambre. Passant directement dans son dressing, elle retira sa robe, dévoilant des sous-vêtements tout simples en coton et se débarrassa ensuite de son soutien gorge. Une fois nue, elle s’en alla au fond du dressing pour récupérer un vieux pantalon de jogging difforme et un sweat-shirt trop large, vêtement rescapé de sa grossesse. Une fois ainsi rhabillée, elle repartit en direction de la cuisine et se mit à faire la cuisine, enchaînant fournée de muffins sur fournée de muffins. Le plan de travail menaçait d’être entièrement recouvert de gâteaux lorsqu’elle entendit doucement frapper à la porte d’entrée. Passant une main sur son front, Charlotte fronça les sourcils et jeta un coup d’œil à l’heure affichée sur le four. Qui pouvait venir la voir à quatre heures du matin ? Peu soucieuse de sa tenue et de sa mine qui devait être à faire peur, elle rejoignit la porte d’entrée qu’elle ouvrit pour tomber nez-à-nez avec Ronan. Ronan qu’elle connaissait depuis l’âge de dix ans. Son Ronan. « Qu’est-ce que tu fais là ? » L’interrogea Charlotte en s’écartant néanmoins pour le laisser entrer. « J’ai vu de la lumière » elle ne l’interrogea sur le pourquoi il avait choisi de se balader à quatre heures du matin. Il ne l’interrogea pas davantage lorsque, la suivant jusqu’à la cuisine, il vit les nombreux plateaux de muffins. « Comment il va ? » Il étant son fils de vingt-deux ans, endormi à l’étage. « Comme quelqu’un qui viens de perdre son père. » Sa voix était vibrante, douloureuse, quoique décidée, presque autoritaire. « Et toi comment tu vas ? » « Comme si ça n’allait plus jamais aller. » « Lottie… » Elle secoua la tête. Elle ne voulait pas pleurer. Pas qu’il ne l’ai jamais vu pleurer, loin de là (elle avait passé environ un tiers de sa grossesse à pleurer, parfois simplement car elle s’était trompée de pied en enfilant sa chaussure), mais il avait aussi eut son lot de souffrance. Et elle allait s’en remettre. Il le fallait bien. La plaie allait finir par se cicatriser, aussi douloureuse qu’elle puisse être en cet instant. Sans croiser son regard, elle pouvait sentir le sien qui la couvait alors qu’elle sortait une nouvelle fournée de gâteaux de son four. « Au moins, tu as de quoi te remplir le ventre. » Un sourire fatigué vint étirer les lèvres de Charlotte alors qu’elle disposait les gâteaux dans une nouvelle assiette. « L’ironie de la chose étant que les deux seules personnes qui vivent dans cette maison n’ont actuellement aucun appétit. » « Je me dévouerais pour les manger. » Charlotte rit, un rire qui sonna un peu étranglé et qui se mua bien vite en un mélange de rire et de sanglots douloureusement retenus. Ses premières larmes n’avaient pas eut le temps de couler que Ronan avait contourné la plan de travail pour la serrer dans ses bras.
- Citation :
pseudo, prénom écrire ici. âge, pays écrire ici. avis sur le forum écrire ici. groupe choisi écrire ici. type de personnage écrire ici. (inventé, pré-lien) avatar écrire ici. votre film préféré écrire ici. dédicace & autre écrire ici. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: mélancolie cruelle Sam 17 Déc - 17:09 | |
| résumé ♡ Maman depuis l’âge de dix-sept ans (je recherche d’ailleurs son grand bébé de vingt-trois ans, un garçon), Charlotte est chef dans un restaurant français. Elevée à Paris, elle a déménagé à St Mawes quand elle avait dix ans du fait d’une mutation de son père, qui bossait alors dans le bâtiment.
A son arrivée, elle s’est fait un meilleur ami, un garçon de son âge, un gosse de riche refusant obstinément cette idée. La tête brulée, le type intelligent, mais diablement con et qui veut surtout pas finir comme son père. Ensemble, ils étaient du genre à se perdre dans des délires idéalistes, à vouloir refaire le monde entier. Et puis, Charlotte est tombée amoureuse d’un mec de leur promo. Un mec gentil, rangé, bien moins fougueux que son meilleur copain, un mec qui était parfait pour elle. Elle voulait y aller doucement, mais la vie a fait qu’il en a été autrement car elle est tombée enceinte de lui à l’âge de seize ans.
Le papa l’aurait soutenu, se montrant gentleman, présent pour elle, l’épaulant dans cette épreuve alors qu’elle avait l’impression que le monde entier se disloquait sous ses pieds. Elle voulait faire adopter ce bambin, elle avait même fait des démarches, mais elle n’a pas pu se résoudre à l’abandonner le jour de sa venue au monde, après l’avoir tenu tout contre son cœur.
En ce qui concerne son meilleur ami, les rapports se sont gâtés durant la grossesse et durant les premières années suivant la venue au monde de son fils. Charlotte était frustrée, blasée de voir ce mec qu’elle aimait temps poursuivre ses délires, refusant d’entrer dans le moule familial, vivant à fond alors qu’elle était désormais engluée bien tôt dans une vie exigeant d’elle qu’elle se montre très responsable.
Avec le temps, sa jalousie se serait émoussée alors qu’elle trouvait un sens à sa vie avec sa petite famille. Le meilleur ami est tombé amoureux entre temps, épousant même une femme, devenant architecte (le garçon intrépide ayant finalement pris un peu de plomb dans la tête). Sauf que dernièrement, le drame. Il y a deux ans, la femme du meilleur ami décède d’un cancer et un an après, Charlotte perd à son tour son époux dans un accident de la route.
Depuis elle tâche de se relever et se rapproche de son meilleur ami, les deux trouvant dans l'autre un soutien mutuel.
les quarantenaires sont pas très représentés, mais si quelqu'un se sent l'envie d'un lien, je suis là :sifflote: et puis bien sûr, je recherche le meilleur ami (que je voyais bien avec Fassbender ) et le fiston (un garçon, brun de préférence, de vingt-trois ans). |
| | | Lilith Aberline
- WORDS : 167
OKAY? OKAY desires of the moment: Voir ses cousins et sa cousine. contact book: availability: 1/4 (Niels, Raphaël, libre)
| Sujet: Re: mélancolie cruelle Sam 17 Déc - 17:28 | |
| Marion! Bienvenue et bon courage pour ta fiche. |
| | | Halle Wemyss you've got a fire inside but your heart's so cold
- WORDS : 218
OKAY? OKAY desires of the moment: a old blanket and a hot chocolate contact book: availability: (✩✩✩) aubrey, eliott, bailey.
| Sujet: Re: mélancolie cruelle Sam 17 Déc - 17:30 | |
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: mélancolie cruelle Sam 17 Déc - 17:49 | |
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: mélancolie cruelle Sam 17 Déc - 19:40 | |
| |
| | | Janis Ford sur mon tricycle jaune
- WORDS : 190
OKAY? OKAY desires of the moment: contact book: availability: JURA // JOVAN // JEZABEL (3/4)
| | | | Invité Invité
| | | | Bailey Hayes
- WORDS : 196
OKAY? OKAY desires of the moment: contact book: availability: available [○○]
| Sujet: Re: mélancolie cruelle Dim 18 Déc - 16:41 | |
| |
| | | Hazel Lachlan
- WORDS : 241
OKAY? OKAY desires of the moment: contact book: availability: (3/4) hazvan; jezabel; jem
| | | | Hazel Lachlan
- WORDS : 241
OKAY? OKAY desires of the moment: contact book: availability: (3/4) hazvan; jezabel; jem
| | | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: mélancolie cruelle | |
| |
| | | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |